samedi 20 octobre 2007
jeudi 27 septembre 2007
on se remet au boulot
Une invitation que j'ai faite pour une collègue. Ca m'a redonné la motivation pour faire des flyers et graphismes autour de la musique, la culture,, etc.
Aller on y croit, ça permet de renforcer son book et d'apprendre toujours un peu plus.
jeudi 6 septembre 2007
A la Recherche de la Nouvelle Soul
Tout ici vous rappelle que vous n'êtes pas seuls, qu'on sera là pour vous choper si vous respirez de travers. Et déjà, la solitude vous envahit.
Comment aborder ces machines ambulantes, fonçant tête bêche vers des rêves de magazine et des buts dictés par leur société?
Qui sont ces gens qui s'empiffrent de tabloïds, conchient la démocratie, glorifient le capitalisme à outrance, et marchent aveuglément vers la pulvérisation inévitable de ce qui fait d'eux des êtres humains?
Et pourtant, on s'exprime à Londres. Les musiciens jouent, les artistes oeuvrent et les créateurs sont inspirés. Mais à peine l'idée éclose, elle est empaquetée, tamponnée et expédiée. Il n'y a pas de place pour l'intime ici. Au feu la romance, au diable la communauté, aux chiottes la passion. Ici, on s'exprime à coups de Pounds. Plus on a, plus on est.
Et pour avoir, on est prêt à perdre celui qu'on est.
Y a-t-il encore une âme à Londres?
dimanche 2 septembre 2007
Crumble au Poires et au Bananes
J'ai choisi de le faire aux bananes et au poires, mais vous pouvez mettre aussi des pommes, des figues, etc...
Le premier qui m'appelle Mamie Nova il sort.
Voici les ingrédients que j'ai utilisé :
50cl de jus de citron
70g de beurre ramolli
110g de sucre roux
100g de farine
1 pincée de sel
3 bananes
2 poires
Préchauffer le four (thermostat 6 (180°C))
Peler et couper les bananes, les arroser de jus de citron pour éviter qu'elles ne jaunissent.
Peler et évider les poires, puis les couper en quartier fins. Arroser de jus de citron.
Faire fondre 10g de beurre dans une poêle, puis disposer les poires dans le beurre chaud.
A mi-cuisson, saupoudrer de sucre (un peu). Une fois que les poires se sont dorées et que le sucre a fondu, ajouter les bananes en les liant à la préparation.
Verser le tout dans un plat à tarte.
Le crumble
Verser la farine, puis la pincée de sel et le reste de sucre et mélanger.
Ajouter le beurre ramolli coupé en morceaux, et malaxer l'ensemble petit à petit entre les doigts de manière à obtenir une texture sablée.
Recouvrir les poires et les bananes de la préparation, mettre au four pendant 35 à 45 minutes.
Sortir quand c'est bien doré, et voilà!
jeudi 16 août 2007
mercredi 15 août 2007
Retour à Paris pour le weekend
http://www.facebook.com/album.php?aid=45233&l=fc6b0&id=531265332
mardi 7 août 2007
Je me suis lancée sur Facebook.
Au départ je voulais poster mes photos et images ici, mais finalement je ne trouvais pas les photos à la hauteur pour ce que je voulais faire de ce blog. Vous pourrez voir mes anciens travaux là : www.facebook.com/album.php?aid=42817&l=49bf7&id=531265332
ou dans mes valises à photos, et d'autres albums en plus si vous vous inscrivez. Ici, je ne posterai que des instantanés, et mes travaux récents. Allez zou.
dimanche 5 août 2007
Hyde Park
Regent's park reste mon préféré, mais c'était quand même sympa de se plonger dans cet immense poumon vert et de se croire en vacances au milieu du chaos. On n'entend presque plus les sirènes.
Après trois mois de pluie non stop, une vraie chaleur. Les bifs se font dorer. Et ça fait du roller en combi assortie et ça pédale sur les engins improbables (avec stéréo incorporée au sac à dos) et ça pagait dans le Serpentine et court après les enfants (quand ils sont pas en laisse - si si).
Et ça oublie pas le staïle...
Et ça joue à la pétanque...
Et ça met la crème solaire...
Et ça là joue romantique, à 7£ par personne la barque pour une heure...
Et ça la joue vie sauvage
Je salue au passage le courage de James, blessé la semaine dernière dans un accident de scooter, epuisé par le bus blindé à 30° à l'ombre et 1h de marche, qui m'en voulait un peu, du coup, au moment de la photo souvenir...
recette du carott cake
En voilà une recette qui est bien pas de chez nous, et qui est (pourtant?) bien sympathique : le fameux carott cake. J'en ai fait un pour la première fois aujourd'hui et j'ai réalisé que c'était simple comme tout, et qu'on pouvait le mettre "à sa sauce" sans problème. Voici la recette que j'ai utilisée :
· 275 g de farine à levure incorporée
· 350 g de sucre en poudre (c'est vraiment beaucoup, moins c'est bien aussi)
· 2 cuillères à café rase de levure chimique (j'en avais pas, ça a très bien gonflé quand même)
· 3 cuillères à café de cannelle
· 2 cuillères à café de gingembre en poudre
· 300 ml d’huile de tournesol (j'en ai mis moins, c'est surtout pour éviter que le gateau soit sec)
· 275 g de carottes râpées (à peu près 4 à 5 carottes)
· 4 œufs
· 1 cuillères à café d’extrait de vanille
· des noix, des fruits secs
++++++++++++++++++++++++
· Préchauffez votre four (180°C).
· Dans un grand saladier, mélangez tous les ingrédients secs
· Ajoutez l’huile puis mélangez
· Ajoutez les carottes râpées puis mélangez encore
· Ajoutez les œufs un à un en mélangeant bien à chaque fois
· Ajoutez l’extrait de vanille puis mélangez bien le tout.
· Versez dans votre moule.
· Faites cuire pendant 50 min environ (cela dépend de votre four). Le gâteau doit être bien gonflé, ferme au toucher, une lame de couteau piquée dans le gâteau doit ressortir sèche.
· Attendez au moins 15 minutes avant de le démouler.
lundi 16 juillet 2007
Un peu d'anarchie dans ce monde de brute
jeudi 12 juillet 2007
Petit tour du quartier
plus précisemment à Camberwell, au Sud de Charing Cross.
Comme son nom ne l'indique pas, le quartier de Camberwell
était une ville, et la colline l'endroit privilégié des riches marchands
qui pouvaient alors admirer la cathédrale Saint Paul, berceau de la culture Cockney.
Camberwell fait partie maintenant de ce qu'on appelle Londres,
à l'image du village de Charonne. Aujourd'hui la population vient en majorité des Antilles, de la Jamaïque et d'Afrique, mais les loyers peu élevés et l'école d'Art (qui fait face à ma rue) attirent aussi les étudiants. Et aujourd'hui James et moi.
Mon quartier se détache cependant de l'ambiance agitée de la ville;
les petites maisons victoriennes s'alignent maladroitement dans les courbes, les arbres enrobent les murs et l'on n'est plus certain d'être dans une capitale internationale.
Voici quelques une des anciennes maisons des "Merchants"
Y'en a avec des couleurs aussi :
Mais ça reste quand même très bucolique :
(les arbres derrière)
Et le plus important : c'est différent; à Londres l'architecture est très redondante, avec une faible variété de style qui s'étend à des miles away, ici chaque maison arrive à peu près à se démarquer, et certaines le font avec talent :
Cette hauteur d'immeuble est assez inhabituelle a Londres,
ainsi que la taille des fenêtres :
En général, c'est plutôt des petites maisons de poupées :
Il y a quelques bars sympas sous les arcades où passent les trains :
mercredi 11 juillet 2007
Vroum
sans apercevoir une de ces voitures
que même dans vos rèves les plus fous
vous n'aurez jamais les moyens de vous payer.
Mais où sont les Morts?
En fait j'ai appris qu'à un moment donné les cimetières étaient tous pleins et peu salubres et que la ville a décidé de créer dans grands cimetières très loin du centre de Londres, allant même jusqu'à intaurer une compagnie de train dédié au transport des morts, sorte de corbillard sur rail avec différentes classes selon votre statut (!)
Enfin voilà.
mardi 10 juillet 2007
✖ état des lieux ✖
Pour commencer, un petit aperçu de notre salon.
On est tous les deux têtus, ça ressort sur la déco parfois
(voir le canapé à deux faces)
c'est une jolie petite maison victorienne sur une colline
{ mais pas dans la prairie }
avant, je vivais aussi en hauteur :
et notre chambre,
à ma coloc et à moi,
ressemblait à ça :
Quant à la vue de la cuisine,
elle était stunning
Mais bon c'est quand même plus sympa
sur la petite colline
avec les beaux yeux de James et le sol plus bas.
Quand on grimpe au sommet, on entend plus la ville,
les chats s'étalent paresseusement sur le bitume,
les fenêtres restent ouvertes, les renards laissent des indices,
et ça sent la mandarine.
Dans la rue,
les gens vous disent Hello
et quand une voiture passe,
c'est l'attraction.
En bas, les bus rugissent, les étudiants parlent fort,
les conducteurs s'impatientent.
En haut, le temps s'étale comme de la crème,
en bas, c'est déjà de l'argent.
★★★